Les essences indigènes sont aussi diverses que leur bois. Certains, comme l'épinette, le pin, le hêtre et le chêne, sont appelés espèces d'arbres principales parce qu'ils sont si fréquents dans nos forêts ou parce qu'ils ont déjà été plantés dans de plus grands peuplements. Ils sont considérés comme des espèces d'arbres de masse, qui peuvent être récoltés en grandes quantités et transformés industriellement. D'autres essences d'arbres sont rarement utilisées et ne sont. La logistique de la récolte est plus complexe, précisément parce qu'elle ne se fait pas dans des peuplements de masse. Leur utilisation dépend de la diversité des structures de transformation dans les régions et beaucoup d'entre elles sont achetées par des entreprises moyennes plus spécialisées. Étant donné qu'il existe de graves lacunes d'information dans de nombreuses régions quant aux propriétaires forestiers qui peuvent fournir les différentes essences d'arbres, ces essences d'arbres sont généralement encore moins bien transformées en bois de chauffage. Bien que leur bois soit en partie précieux et en demande et qu'il soit importé dans les régions par le biais du commerce. Mélèze de Sibérie, érable du Canada, Robine de Roumanie etc....... Il est inquiétant de constater que, surtout dans les forêts gérées, ces espèces d'arbres sont replantées et cultivées de manière à pouvoir être bien commercialisées. La demande d'essences régionales et d'essences moins communes entraînerait également une augmentation de la variété des essences dans les forêts aménagées.
Aktuelle Version vom 10. Oktober 2019, 13:46 Uhr
Les essences indigènes sont aussi diverses que leur bois. Certains, comme l'épinette, le pin, le hêtre et le chêne, sont appelés espèces d'arbres principales parce qu'ils sont si fréquents dans nos forêts ou parce qu'ils ont déjà été plantés dans de plus grands peuplements. Ils sont considérés comme des espèces d'arbres de masse, qui peuvent être récoltés en grandes quantités et transformés industriellement. D'autres essences d'arbres sont rarement utilisées et ne sont. La logistique de la récolte est plus complexe, précisément parce qu'elle ne se fait pas dans des peuplements de masse. Leur utilisation dépend de la diversité des structures de transformation dans les régions et beaucoup d'entre elles sont achetées par des entreprises moyennes plus spécialisées. Étant donné qu'il existe de graves lacunes d'information dans de nombreuses régions quant aux propriétaires forestiers qui peuvent fournir les différentes essences d'arbres, ces essences d'arbres sont généralement encore moins bien transformées en bois de chauffage. Bien que leur bois soit en partie précieux et en demande et qu'il soit importé dans les régions par le biais du commerce. Mélèze de Sibérie, érable du Canada, Robine de Roumanie etc....... Il est inquiétant de constater que, surtout dans les forêts gérées, ces espèces d'arbres sont replantées et cultivées de manière à pouvoir être bien commercialisées. La demande d'essences régionales et d'essences moins communes entraînerait également une augmentation de la variété des essences dans les forêts aménagées.